Aussi avons nous souhaité apporter notre participation à l’œuvre entreprise, en mettant à votre disposition nos documents et nos connaissances sur le sujet.
Nous pouvons tous aujourd’hui admirer le travail effectué, et ceux qui se sont lancés dans cette tâche peuvent être légitimement fiers du résultat.
Harel de la Noë, le « père » des Tramways de la Sarthe, disait : « Je construis pour les cinquante années à venir, au-delà l’automobile aura remplacé le tramway… » Discours on ne peut plus visionnaire, qui s’est avéré rigoureusement exact puisque, ouverts en 1897, les lignes de tramways ont été fermées en 1947, 50 ans après ! Mais s’il nous regarde de là-haut, nous pouvons dire aujourd’hui au grand Harel : « Regarde, ils ont redonné à ta gare une nouvelle jeunesse, et elle vivra bien encore 50 ans de plus… ! ».
Le dessinateur parisien, mais sarthois d’adoption, Pierre Delarue-Nouvellière écrivait en légende à l’un de ses dessins, peu après la fermeture des Tramways de la Sarthe : « Le petit train a disparu, mais il vit toujours dans le cœur de ceux qui l’ont connu et aimé. ».
J’ajouterai : « ici, à St. Denis d’Orques, grâce à vous, monsieur le maire, grâce à M. Jouanneaux et à toute votre équipe, il vit de nouveau pour ceux qui l’ont aimé sans l’avoir connu… Soyez-en remerciés ! ».
Site du Club Modélisme Ferroviaire du Maine :